Au milieu de la folle avoine

j'ai vu se faufiler un lièvre

la brise floùte en vagues souples

le sommet des frêles épis 

A l'ombre du rocher

le temps n'appartient à personne

les portes de l'avenir

Sonnent et se brisent

L'été pour quelques jours encore

Merci pour ce moment suspendu Balaline

Superbe poème sur ces avoines folles !
Merci Balaline et très bon week-end.
Léone

J'aime tes Mots nostalgiques  nous berçant tendrement d'un Avenir d'ici et maintenant...Merci de cette douceur ...L'espoir reste très présent partout où je pose mes yeux ici et ailleurs , je trouve cela très porteur et réconfortant de ne pas laisser s'installer une ambiance mondiale frémissante à faire peur ...

Merci Belle Amie

Les heures passent là-bas sans qu'on s'en rende compte... on ne s'en lasse pas.

Quel pas, même le plus léger, oserait fouler ces houles blondes ?

D'une main souple et légère

comme le vent

caresser la vie

:-)

ce mati, j'ai pris mon courage à 2 mains pour aller voir cette folle avoine, chez nous elle est bien sèche. depuis 3 jours, je suis dans la maison, santé de monsieur exige et le moral en a pris un coup!  Mais ta poésie est un bol d'air, merci Balaline!

Bonne journée

Le vent souffle ses chansons

Dans les avoines folles

Leurs cheveux ébouriffés

Dansent sur l'océan du temps