Il y a des crépuscules du matin que l'on ne peut pas nommer aube d'un jour nouveau parce que notre cœur est si lourd de tristesse et de souffrance qu' il ne sait plus voler comme les oies sauvages.

Je m'envolerai bien sur le dos d'une oie sauvage, tu sais, mais dans un ciel ensoleillé. Je ne veux plus de souffrance, ni de tristesse...Je t'embrasse bien affectueusement et te souhaite une douce journée

Le temps s'est arrêté, les coeurs souffrent à l'unisson.

Le temps passe et les mots de l'espoir renaissent, car malgré les incompréhensions, la tristesse, "faut vivre"  !  

Douce semaine Balaline.

 

Dan le chant des couleurs de la Vie

l'espoir d'un monde meilleur

s’envole

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C'est très beau.
Merci pour ce poème.

Bisous et douce journée.

Bon wek-end pascal Balaline.

Que ces jours soient doux et .... chocolatés ! 

Une photo comme une toile vibrante
Un poème de toute beauté.

Merci pour cette belle émotion.

Mais même dans ses airs de crépuscule, le printemps n'en est pas moins un, et la vie est toujours là, visible quelque part, la preuve, dans la liberté que porte l'élan des ailes de ces oies sauvages. Très beau.

Belle journée à toi. Bises (avec du soleil, ici).

Fabrice

Une image superbe ...Le flou d'une Liberté nous fait vaciller mais pas chuter

Belle journée Balaline 

C'est très émouvant tant c'est beau Balaline ! Un bel élan de vie au coeur du crépuscule ! 

Bises