• Le lien

     

     

    A l'ombre du vieux bois

    qui respire encore

    sous ses veines assombries 

    égratignées du temps

    un lien à dénouer

    pour un havre de paix

    un refuge

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 11 Octobre 2019 à 20:21

    Clé de bois

    pour prendre

    la clé des champs

     

    PS : Magnifique photo Balaline cool

    2
    Samedi 12 Octobre 2019 à 08:22

    Prendre le temps de dénouer le fil du temps...

    3
    Samedi 12 Octobre 2019 à 11:57

    Superbe !

    4
    Samedi 12 Octobre 2019 à 17:28

    Alors je veux bien le dénouer avec toi, Balaline. Tu veux bien? Gros bisous et doux week-end

    5
    Dimanche 13 Octobre 2019 à 07:46
    marine D

    J'aime ta photo, elle me parle, comme ces vieilles portes d'écuries ou de petite grange de montagne, j'en ai connu et quand on entrait dans l'odeur de paille, de foin, la chaleur des animaux,  on se sentait comme dans un refuge, en effet !

     

    A Mounicou

    la grange sentait le foin

    et les douces juments

     

     

    Bisous Balaline

    6
    Dimanche 13 Octobre 2019 à 18:42

    Bonsoir Balaline,

    Quelle douceur dans tes mots et j'aime ces vieilles portes au bois usé derrière lesquelles j'imagine des petits jardins parsemés de fleurs, plein d'ombre et de soleil et en ce moment toutes les couleurs de l'automne !
    Bonne semaine à toi Balaline et merci de tes passages sur mon blog.
    Léone


     

     

    7
    Dimanche 13 Octobre 2019 à 20:33

    Une photo très expressive et des mots sublimes pour l'illustrer!

    "Les liens s'effilochent

    Tout au long du temps

    Il faut qu'ils s'accrochent

    Aux planches d'antan

     

    8
    Lundi 14 Octobre 2019 à 11:35

    dénouer le lien,

    ouvrir la porte

    la vie s'éclaire

    9
    Mardi 15 Octobre 2019 à 10:35

    Bonjour Balaline, je reprends doucement... le chemin des blogs mais il me manque un rayon de soleil pour vraiment mettre des articles. C'est derrière cette porte en bois, quelque part dans les collines où  je promène, que sans doute se trouve la sérénité qui n'est pas encore revenue complètement. Je n'aime pas les portes fermées... d'ailleurs chez moi les portes ne sont jamais fermées et les grandes baies, me permettent la nuit quand je me réveille (et c'est un peu trop souvent) regarder cette nature qui vit sous les petites lumières des étoiles et des loupiotes de la cour. Bises

    10
    Betty...Harmony
    Vendredi 18 Octobre 2019 à 11:27

    Dénouer

    Découvrir 

    S'émerveiller

    Tout s'embellit

    Bon Week end d'un Automne qui enchante encore , bise Amie..

    11
    Vendredi 25 Octobre 2019 à 11:13

    Magnifique, mots et image !

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :